ARTISTE VIVANTE
Plasticienne issue du spectacle vivant et de la performance, Mélanie Le Grand crée des processus immersifs et participatifs où différents médias artistiques sont utilisés pour ouvrir des espaces de vie intensifiée.
Sa recherche porte sur l’amour vu comme ultime liberté. Elle aborde, au fil de son parcours, les question de pouvoir (performances Doll et Fragile (?), recueil de textes Seuls), le corps sublimé et l’érotisme joyeux (séries photo participatives Self et hÉros), la question de l’identité (pièce-performance Rien Derrière, court-métrage Élie) et du retour à soi intimement lié à la vision d’un monde plus vaste (Les Eaux, Apparitions, Les Organiques).
ACTUALITÉ
LES 11-12-13 OCTOBRE 2024 / Chemin des Artistes / Temple de Chateaudouble (26) / parcours d'art / exposition sculptures textiles
DU 13 AU 25 NOVEMBRE 2024 LES MONDES
une exposition immersive de Mélanie Le Grand avec une création sonore de Vincent Duc
à l'USINE - WAC centre d'art contemporain / 25 route de la Faïencerie 26160 Le Poët-Laval
en Résonance avec la Biennale d'art contemporain de Lyon
Vernissage le mardi 12 novembre à 18h
Les installations de sculptures textiles de Mélanie Le Grand invitent à entrer dans ce tissage des mondes. Pour le Hall de l'Usine, elle présente en grand format son travail organique de fils colorés, tissus effilochés et suspensions en mouvement délicat.
En Résonance avec la thématique de la 17ème édition de la Biennale de Lyon « La voix des fleuves, Crossing the water », l'artiste propose un regard sur les traversées de vie, quelles qu'elles soient, vues comme la possibilité d’une ouverture à un monde plus vaste, vivant et vibrant, intimement interconnecté et universel, dans lequel l’impermanence est un mouvement naturel.
La création sonore complice de Vincent Duc est intégrée aux mouvements lents d'une grande oeuvre à vivre au centre de l'exposition, comme un rituel que chacun et chacune est invité.e à s'approprier le temps de se rêver soi-même dans ses propres traversées.
photo Laurent Quinkal
Une vidéo réalisée par Rosalie Lust (Komorebi)